La demande de minerais rares, considérés comme cruciaux dans le cadre de la transition vers les énergies renouvelables, augmente et accroît les risques en matière de droits humains (rapport AI). Il en est de même pour la pêche industrielle qui exploite à grande échelle des fonds marins.
Partout dans le monde, des multinationales forent et creusent pour extraire les métaux rares nécessaires au développement des nouvelles technologies et de la transition énergétique, sans pour autant cesser d’exploiter les énergies fossiles par tous les moyens possibles. Les besoins exponentiels en cobalt, lithium et autres terres rares encouragent le pillage des ressources naturelles de nombreux pays sans consultation avec les populations concernées et sans le moindre respect pour l’environnement. Expropriations, travail dangereux et sous-payé, esclavage, travail des enfants, déforestation, pollution, conflits armés et actes de violence ou d’intimidation sont les principales conséquences de cet extractivisme aux profits considérables, pratiquement dérégulé et totalement décomplexé.
Malgré les nombreuses voix qui s’élèvent contre leurs pratiques dévastatrices, un grand nombre d’entreprises françaises et étrangères continuent à mener ces projets nuisibles sans être tenues responsables des exactions et des graves violations des droits humains qu’elles commettent.
Votre nouvelle portera sur la résistance ou le combat d’une personne ou d’un groupe de personnes (peuple autochtone, village sur le site minier, travailleur.euse de la mine, consommateurs.trices qui prennent conscience de leur responsablité ….) face à la menace d’une activité extractive hautement nuisible.